Être en possession d’un bien ou en être locataire impose au fil du temps des travaux en vue d’embellir ou d’étendre sa maison. Tout le plan est alors établi, mais parfois, c’est la question budget qui nous fait hésiter. Pas de panique ! Sachez qu’il y a des moyens d’avoir des financements de travaux chez votre banque, organisme de crédit ou même de l’État.
À notre grande surprise, certaines conditions d’éligibilités sont plus assouplies, ce qui revêt d’un grand intérêt d’avoir un crédit travaux. Sans plus attendre, poussez votre lecture pour en comprendre davantage.
La définition d’un crédit travaux
Les maisons anciennes ne sont pas équipées de la même manière que les maisons modernes surtout en termes de technologies et d’écologie. Il convient par la suite de renouveler l’équipement notamment le chauffage et l’isolation en vue de minimiser les dépenses énergétiques.
Par ailleurs, toute maison qui semble être abimée et où les traces de vieillesses sont flagrantes doit faire l’objet d’une rénovation. Sans compter le fait qu’en vue d’étendre sa propriété, il convient d’optimiser l’espace, ce qui oblige le propriétaire à réaliser des travaux plus conséquents.
Tous ces cas de figurent relate l’importance d’avoir une épargne ou d’une somme d’argent dédié aux travaux. Ce n’est pourtant pas à la portée de tout le monde. Les organismes de crédits et l’État ont alors pensé à constituer un financement à crédit pour toute personne désirant entreprendre ses travaux.
Les types de crédits de travaux
Les crédits de travaux peuvent être obtenus suite à un contrat de prêt à la consommation étant donné que les travaux sont affiliés à des produits consommables. Les modalités de remboursement se font au moyen d’un calendrier préétabli entre la banque et l’emprunteur.
La solution classique qui se présente en premier est le « prêt personnel ». Octroyée sans justificatif, elle s’acquiert suite à des études de la situation financière du demandeur. Le montant est plafonné à 75 000 euros avec un délai de remboursement s’étalant sur 5 à 10 ans. Vient après la pioche dans son « crédit renouvelable ».
Une réserve d’argent mis à disposition de l’emprunteur en tenant compte de sa capacité à rembourser. Le montant n’est pas alors fixe. Dans cette catégorie de crédit remboursable est également proposé pour financer ses travaux : « le crédit affecté ». Cette fois la somme allouée est pile au montant des travaux, ce qui exige des justificatifs.
En outre à titre d’aide par l’État est octroyé aux particuliers « l’Éco-Prêt à Taux Zéro » ou « Éco PTZ », « le Crédit impôt pour la transition énergétique », une Aide de Solidarité Écologique ou ASE dédiée aux travaux qui entrent dans le cadre d’une transition énergétique.
Comme son nom l’indique, il n’est pas majoré d’un taux, mais est un crédit affecté. Il existe également une autre forme dénommé « prêt à taux zéro » sans exigence précise aux types de travaux, mais par contre spécifie les profils du demandeur comme étant modestes.